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02/02/2011

Telle est prise qui croyait prendre !




Grisée par le champagne
Enivrée par leur complicité
Ivre de débauche et de luxure
Elle a envie de franchir d’autres limites
Elle a surtout envie de se découvrir autrement,
D’inverser les rôles.

Ils se sont retrouvés au préalable
Monsieur la veut somptueusement salope et autoritaire
Sans état d’âme, sans cervelle.
Ce soir, ils forment un tandem
Il reste  le Maître incontesté
Elle est la Maîtresse sans scrupules
D’un couple de soumis.

Dans un premier temps, chacun son jouet -à priori- :
Elle s’occupera de l’homme.
Il prendra en main la femme.
Les jeux sont ouverts et les limites peuvent être repoussées !
Wait and see …

A leur arrivée, le couple portera chacun un bandeau.
L’homme portera un anneau pelvien  et des bas résilles,
Se tiendra à genoux, les mains dans le dos, le torse en appui sur une table basse
La femme, vêtue d’un serre taille et jambes gainées de noir, se tiendra assise sur les talons
Devant un fauteuil vide,
Buste tendu, mains dans le dos.

Ils sont arrivés main dans la main,
Complices d’une séance de jeux par ordinaire.
Ils prennent possession de l’endroit
S’approchent de leur jouet respectif
Savourent le respect des consignes
Entrent en  scène.

Elle et l’homme

Elle est très excitée. La position de l’homme ne lui permet pas de voir si c’est réciproque. Elle s’approche et le sent haletant. Elle lui murmure qu’il est parfait, indécent à souhait et qu’elle n’a qu’une envie, lui ouvrir le cul, le dilater, le fouiller profond avec ses doigts avant de lui enfiler  le god ceinture. Il se trémousse, fait mine de se relever. Elle stoppe nette son ardeur. On a tout notre temps. Sa main parcoure la nuque, les épaules, s’arrête sur les reins. Elle l’abandonne quelques instants pour se parer du superbe god ceinture noir. Elle lui demande de se cambrer, de tendre ses fesses, d’écarter les cuisses. Il s’exécute, d’une docilité incroyable. Sa main flatte sa croupe, une fesse, puis l’autre, s’immisce dans la raie de son cul.

Sa main se soulève, puis s’abat tout à tour sur les deux globes qui lui servent d’assise. Il gémit, réclame « encore », « plus fort ». Elle glisse sa main dans sa raie, descend pour atteindre son petit trou. Elle le sent perméable, ouvert, impatient. Elle continue ses investigations, masse son périnée, tâte ses bourses, les pétrit. Sa queue est dure, elle est tendue, dressée, arrogante prise dans l’anneau qui l’enserre. Les choses sérieuses vont commencer. Elle dépose une bonne dose de lubrifiant sur son anus. Il gémit mais il se cambre à la rencontre de son doigt. Il profite du plaisir qu'elle lui donne et lui fait comprendre qu’il en veut plus. Elle s’enfonce, elle le façonne, le distend. Elle le masse de l’intérieur, il râle, il halète, il gémit. De son autre main libre, elle palpe sa queue. Il la supplie de le  branler mais au lieu de cela , elle glisse un second doigt en crochet pour atteindre la prostate, qu’elle titille. Il se crispe. Elle l’abandonne pour lui tendre le god.

- Viens et suce, lui dit-elle.
- Mouille-le bien, tu vas le prendre tout à l'heure, alors occupe-t-en comme il faut...

Il le prend en bouche et le lèche aussi loin que possible.

- Tu aimes ça. Tu aimes être ma petite chienne soumise... lui dit-elle.

Au bout de plusieurs minutes de ce traitement, elle se positionne à genoux derrière lui. Son sexe est bien tendu plein de jus qui perle au bout du gland. Elle pose le god sur son anus  bien préparé, bien dilaté et il s'écarte lentement. Elle le sent frémir, elle  l'entend gémir de plaisir. Elle progresse inexorablement elle s’enfonce. Quand son pubis cogne ses fesses, elle devient folle de plaisir, sa chatte coule. Elle aussi veut être pleine. Ses coups de reins réclament un écho. Elle sent une présence derrière elle, une chaleur contre son dos, deux mains qui agrippent ses épaules, une queue qui s’immisce entre ses reins.

-  Courbe-toi ma Princesse, ma salope préférée, moi aussi, je veux ton cul !

Telle est prise qui croyait prendre !