Membres

25/08/2009

Scène inachevée

celle qui n'a pas pu se faire la dernière fois faute de combattants...

Celle de la pute de luxe, docile et obéissante, commandée par un client dans sa chambre d’hôtel. (Elle aime être dirigée pour exécuter le moindre de mes désirs et sera prête à m’obéir, à satisfaire toutes mes envies, à s’exhiber de façon obscène, à servir d’objet sexuel, avoir les mains attachées dans le dos pour me sucer la bite et les orteils, se faire goder attachée sur le lit, me lécher le cul pour me faire plus bander, être fessée puis enculée…). Elle revêtira sous son manteau pour l’occasion et pour faire bien pute, des escarpins, bas résille noir et serre-taille noir avec jarretelles, pas de soutien gorge (ses affaires de rechange seront dans le sac qu’elle apportera avec elle ainsi que ses objets de vice). 
Avant de frapper à la porte, elle ouvrira son manteau et mettra un bandeau sur les yeux. 
Une fois que j’aurai ouvert la porte elle devra me dire :
 
« Je suis votre pute. Faites de moi ce que vous voulez. Je suis là pour vous obéir et vous satisfaire. Usez et abusez de moi. Je ne sais pas dire non. »

17/08/2009

Bonjour MA belle, MA maitresse, MA bourgeoise, MA pute, MA chienne...

Dimanche il faisait beau et chaud et j’ai fantasmé sur toi en me promenant.

Comme un de tes fantasmes était de faire la putain au bois, tu m'attendais anxieuse et excitée, les cheveux mouillés et tirés en arrière, maquillée outrageusement, en escarpins et bas résille noirs avec un imper très serré à la taille par une ceinture et rien dessous car je voulais que la mouille coule sur tes cuisses, à l'idée du traitement que j’allais te réserver. Je voulais également que ton imper soit ouvert de telle manière que si tu bouges trop, on voit tes gros tétons dressés, prêts à se faire mordre. J’arrivais en voiture à ta hauteur.

Tu me disais que tu étais ma pute, mon esclave, si je le voulais, que tu ferais tout ce que je voudrais. Je t'ordonnais de faire ballotter tes seins en commençant à me branler. Je t'obligeais à lécher la vitre de ma voiture de façon obscène. J’imaginais que je te promenais nue devant moi au bout d’une laisse dans le bois. Je te demandais de temps en temps de t'arrêter pour prendre des poses vicieuses et me parler de façon obscène pendant que je prenais des photos. J’en profitais aussi me branler en te matant le cul ou en passant ma pine sur tes mamelles.

Je t'attachais les mains en haut à une branche, je te mettais un bandeau sur les yeux. Je prenais encore des photos en contemplant mon œuvre puis je posais des pinces à linge sur tes tétons et je te fessais en te branlant la chatte et le cul. Je ne te détachais qu’une fois que tu avais les fesses bien rouge et je te mettais à quatre pattes sur une couverture en t'obligeant à me sucer en te tirant par les cheveux, t'insultant, avant de déverser mon sperme sur ton visage, sur ta langue et dans ta bouche de salope. Je t'abandonnais là, terriblement obscène, nue, yeux bandés, souillée, cul cambré…jusqu'à la prochaine fois...

Hum.