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31/05/2009

Proposition indécente ou envie (4)

(suite). Elle est sur le lit, yeux bandés et offerte, sensuelle, à ses caprices, exhibée de façon très impudique. Il l’embrasse tendrement. Ils restent allongés un long moment comme ça. Il la caresse doucement, passe sa langue sur tout son corps avec de légères caresses. Il la questionne sur ses désirs, ses envies, ses fantasmes, ses appréhensions…Au bout d’un moment, elle a une envie naturelle. Il la conduit par les épaules vers la salle de bain et la fait s’asseoir sur les toilettes. Elle s’attend à ce qu’il la laisse mais il prend l’appareil photo et lui demande d’écarter les cuisses pour mieux voir son sexe. D’abord honteuse, elle se prend au jeu et écarte avec ses doigts les lèvres de son sexe pendant qu’elle urine, impudique. Elle a droit à des mots crus pendant qu’il se branle excité en la regardant en train de se masturber également assise sur la cuvette et en se caressant le clito de façon presque obscène. Il lui demande de se lécher les seins. Elle prend ses gros seins dans ses mains et commence à se téter les bouts de façon vicieuse devant l’homme. Imaginez, ils ne se connaissaient pas il y a une heure et maintenant il se branle à volonté devant elle et elle s’offre à lui comme une petite cochonne sans retenue… Il se branle sur seins, lui demande de les serrer sur sa pine. Il la baise bruyamment par les nichons lui demandant de se pencher en avant pour lécher le gland.

Très excité, il la ramène dans la chambre. Il lui attache les poignets dans le dos, sans serrer et juste pour la forme, avec un bas pris dans son sac, version très adoucie du « scénario du viol » où elle ne veut pas ce qui arrive, elle est attachée, elle ne peut pas fuir…de quoi atténuer son sentiment de culpabilité par rapport au vice et au plaisir. Elle est contrainte de s’agenouiller sur le sol devant le lit. Il s’assoit sur le bord puis se penche en arrière en relevant ses jambes. Elle doit lui lécher longuement les couilles pendant qu’il secoue sa queue. Puis il lui demande de lui lécher le petit trou. Elle a un mouvement de recul mais il la tire vers lui par les cheveux. Elle pointe sa langue d’abord timidement puis enhardie, s’applique à lécher consciencieusement son anus. Ca le fait encore plus bander d’autant qu’il a l’impression qu’elle aime ça car elle a enfoui sa tête complètement entre ses cuisses en gémissant pour mieux rentrer sa langue dans son trou.
Il se met debout. Il passe sa bite sur ses joues, dans son cou. Lui tape sur les lèvres, elle essaye de lui lécher le gland. Il lui prend la tête dans les mains. Elle lui lèche la bite, sa langue passe de son gland aux couilles. Elle le prend en bouche. Sa salive glisse le long de sa bite. Elle semble y prendre vraiment du plaisir, elle suce bien. Il lui enfonce sa bite au fond de la gorge. Elle hoquette, mais accepte de le prendre à fond.
Il la baise par la bouche. Comme si c’était sa chatte ou son cul. Il lui maintien la tête, ses lèvres sont serrées, sa langue glisse sur le gland. Il la baise dans les joues, dans la gorge. Il se sert de sa bite comme d’une matraque et lui frappe son visage avec. Ne pas voir son regard est très excitant, elle perd son rang de personne, elle n’est plus que son sex-toy sur le moment. Il la photographie la bouche pleine puis la langue sortie devant son gland. Ses seins pendent, ils sont gros, ils suivent le mouvement de sa pipe. Il lui caresse les cheveux. Elle s’attarde sur son gland, il sent qu’il va jouir, il se retient encore. Puis finalement lui jute dans la bouche en criant, l’obligeant à tout avaler. Quand il a fini d’éjaculer, elle lèche les coulées jusque sur ses couilles.
Il l’embrasse, il aime le goût et l’odeur de son sperme dans sa bouche. Leurs langues se mêlent.
Avant de partir il glisse un papier avec son numéro de téléphone. Si elle voudra continuer, aller plus loin elle saura où le joindre, laissant la porte ouverte à l’imaginaire et à tous les fantasmes. Sinon, ils ne se reverront pas. Le choix est laissé à son appréciation… Plus tard… Elle reste assise quelques minutes, le temps de se ressaisir. Puis elle reprend le volant et retourne chez elle. Une fois là, elle sort de son véhicule. Elle a l'impression que les voisins l’épient, qu'ils la dévisagent... S'ils savaient. ..

Proposition indécente ou envie (3)

(suite)…Il veut absolument découvrir et palper son splendide cul qui le nargue. Il la fait se relever, enlève sa veste, descend sa jupe puis l’enlève. Elle ne garde que son string, son porte-jarretelles, ses bas et ses chaussures. Lentement, il la force à se cambrer. Par-derrière, il empoigne ses fesses et l’oblige à les écarter. Nouvelle série de photos…
Sans bruit, il s’approche et regarde son sexe ouvert, son trou du cul. Dès qu’elle resserre un peu, il lui met une tape sur les fesses. Alors elle s’ouvre, il continue les photos, sa chatte est trempée.
Il enfonce d’un coup deux doigts dans son con et tire vers l’arrière. Il la force un peu à marcher dans la chambre, ses doigts en elle, si elle referme les cuisses, il les ouvre d’une petite claque. Ses mains dans le dos, son cul offert, les doigts de l’homme en elle l’obligent à se mouvoir bizarrement. De ses doigts, il la dirige, télécommande. Il regarde sa chatte, grande ouverte et baveuse. Elle a de petits mouvements du bassin, pour qu’il continue à la fouiller. Il la photographie, nue sur le lit, allongée sur le dos, cuisses ouvertes, offerte à son regard et ses envies. Il lui donne une tape sur la chatte puis commence à la doigter. La regarde à nouveau. Si elle referme un peu trop les cuisses ou bouge trop, il lui donne une petite tape sur son con. Il vise le clito. Il ne tape pas fort, mais mes tapes sont sèches, cinglantes. Il ne cherche pas à lui faire mal, mais à la surprendre, à provoquer suffisamment de douleur pour l’exciter.
Il la force à s’exhiber devant lui de façon obscène les jambes complètement repliées sur sa poitrine, le sexe et l’anus offerts. Il attrape un gode, lui lèche la chatte puis l’enfonce. Il continue ses photos, sous tous les angles. Il lui demande d’ouvrir ses fesses avec ses mains. Il commence à lui lécher le trou du cul, sa langue s’enfonce dans son trou. Il s’ouvre à sa caresse. Longtemps, il la lèche ainsi, son cul dégouline de salive et de mouille, il peut rentrer trois doigts. Quand il s’éloigne, il reste ouvert quelques secondes.
Il se déshabille puis il la met en levrette. Encore une fois, il lui demande de s’ouvrir au maximum pendant qu’il se branle en regardant. Il récupère un peu de mouille et lui rentre à nouveaux ses doigts dans le cul puis lui fait lécher. Il lui demande de se goder l’anus. Il la prépare. Lors de leurs échanges par mail, elle l’a poussé sur la voie de la sodomie. Ça tombe bien. Il a très envie de l’enculer. Il se branle encore excité par le spectacle du gode qui s’enfonce dans le fondement de la femme. Il lui claque les fesses pour l’encourager à l’enfoncer complètement. N’en pouvant plus, il s’approche, retire le gode. Son trou reste grand ouvert, il crache dedans et se place au dessus de ses fesses. Il place son gland à l’entrée de son cul et ne rentre que de quelques millimètres, il veut qu’elle le sente la mettre.
Il s’enfonce, ressort, à chaque fois son cul l’avale un peu plus. Une fois que son gland est rentré, il s’attrape la bite et la remue dans son cul. Il fait de petits cercles pour lui agrandir le fion. Il n’a pas besoin de gel, son trou se distend tout seul, au passage de sa bite. Sa main part vers sa chatte, il la branle par-dessous, quelques doigts réussissent à rentrer dans son vagin, il sent sa bite de l’autre côté de la paroi. Il pense aux photos et en prend une série, soit avec sa bite, soit juste son cul ouvert. Puis il s’enfonce en elle, sans forcer mais aussi sans s’arrêter, pour aller plus profond encore, il la couche sur le côté et continue à avancer dans son cul en lui malaxant les seins à pleine mains.
Elle lui demande soudain de la défoncer, elle enchaîne des phrases crues pour lui donner envie de la baiser, elle lui dit qu’elle aime se faire enculer. Elle l’incite à la mettre de plus en plus fort, elle veut jouir du cul. Il la force à se remettre à quatre pattes mais cette fois sur le sol. Il se place derrière prenant appui avec ses bras sur le bord du lit. C’est d’elle-même qu’elle s’encule sur sa bite, poussant à chaque fois ses fesses jusqu’aux couilles. Soudain elle jouit.
Il lui attrape les poignets et la force à se courber complètement, visage contre le sol. La position n’est pas agréable mais la sensation est telle qu’elle a l’impression d’être complètement remplie. Il place ses mains sur ses omoplates pour s’enfoncer en elle de tout son poids. Il jouit soudainement, se vide dans son cul. Elle sent les jets, courts, épais, chauds. Il reste un long moment en elle. Et tandis qu’il se retire, la semence coule le long de ses jambes. Elle se relève s’écroule sur le lit, les fesses en feu. Il s’allonge près d’elle, embrasse son cou, lèche sa sueur. Elle veut enlever son bandeau. Il l’en dissuade…La soirée n’est pas terminée…(à suivre)

30/05/2009

Proposition indécente ou envie (2)

(suite)…Elle a suivi les instructions du scénario : bas à couture, porte-jarretelles et pas de soutien-gorge. Il n’aime pas les soutiens-gorges. Et une culotte bien sûr, ou plutôt, ce qu’on appelle un G-string. Il adore ce trait noir séparant un cul rebondi en deux. De plus, lors d’échanges par mail, la mise en scène, lui avaient laissé prévoir qu’il était d’humeur à dessous noirs et talons aiguilles. D’avance, elle sait qu’il la possèdera dans son petit orifice intime. Elle sent la moiteur envahir ses cuisses à cette idée.. Elle attend, bandeau (ou masque de nuit) sur les yeux…Il arrive… l’embrasse doucement puis passionnément…reste pour l’instant très courtois dans ses faits et gestes… Il la laisse un moment. L’appareil photo est sur le lit à coté de ses jouets. Il le prend, le démarre. Il y a déjà quelques photos sur la carte. Comme promis, les jours précédents, elle s’est photographiée, à chaque fois que la perspective de leur soirée l’a émoustillée. Il y a deux photos où on la voit se préparer dans la salle de bain, cadrées sur le bas de son visage, sur la première on la voit se maquiller avec un rouge à lèvres, sur la deuxième elle se passe la langue sur les lèvres, sur la troisième elle suce un gode. Comme il le lui a demandé, elle a photographié ses sex-toys sur un lit avant de les mettre dans son sac, une autre photo où l’on voit dans un miroir sa veste entrouverte sur ses gros seins qu’aucun soutien-gorge ne protège.
Il s’assoit su le lit en face d’elle et commence à la photographier, lui commandant la pose. Bien droite sur sa chaise, elle  doit croiser et recroiser ses jambes, faisant adroitement remonter la jupe de son tailleur un peu plus haut, laissant apparaître le bord plus sombre de ses bas. Jambes écartées et jupe relevée pour dévoiler le triangle de sa culotte.
Il la fait se relever et reste derrière elle. Il la lèche dans le cou. Il ouvre sa veste, ses seins jaillissent. Il les prend dans ses mains. Ils sont gros. Il la photographie à nouveau, penchée en avant, les seins qui pendent. Il les malaxe, les pince, les tord. Elle se plaint doucement en reculant puis lui donne à nouveau ses seins pour qu’il lui fasse à nouveau délicieusement mal.
De fines gouttes de sueur coulent entre ses seins, il les lèche. Elle ouvre la bouche en gémissant, se passe la langue sur les lèvres.
À nouveau des photos…Il la fait se retourner, lui fait prendre des poses impudiques. Elle doit se pencher en avant, mains à plat sur les cuisses. Il ne peut s’empêcher de fixer d’un œil lubrique les fesses de la femme. La fine jupe moule avec une telle précision la croupe rebondie qu’il a l’impression que le tissu va craquer si elle se cambre davantage. Cette vision follement érotique fait miroiter dans sa tête des images de levrettes somptueuses et de sodomies perverses… Le scénario proposé initialement par l’homme n’avait pas prévu explicitement de pénétration. Le plaisir devait être érotique, pervers et devait donner une suite possible. Mais elle l’avait encouragé à aller plus loin dans ses mails.
Il la force à se cambrer davantage en prenant appui sur l’assise de la chaise. Lentement, il se laisse glisser le long de ses jambes. Il a maintenant une vue parfaite sur les courbes de ses fesses, là où le string se perd au plus intime d’elle. Il profite un instant immobile du spectacle, ses mains juste posées sur l’arrière de ses cuisses Ses mains remontent maintenant délicatement le long de ses jambes, partent de ses mollets, longent tes genoux. Arrivée sur ses cuisses, sa caresse se fait plus large, passant sur le côté puis sur la partie la plus délicate, à l’intérieur. Il vient parfois frôler le bas de ses fesses, et même son entrejambe toujours protégée par son string noir. Il lèche la couture de ses chevilles jusqu’à la lisière de ses bas. D’un geste un peu brusque, il écarte ses cuisses, pose la main sur son entrecuisse. Depuis le début de la soirée l’homme sent une certaine retenue chez la femme. Elle ressert légèrement les jambes instinctivement. Et là, clac ! il lui frappe le derrière de la main. Un silence suit… et elle écarte les jambes. Il glisse alors une main dans son string sur son sexe et de l’autre lui donne une fessée, le but étant d'obtenir une reddition complète. Il prend alors des photos lui fait prendre des positions aussi indécentes qu’excitantes. Elle s’y prête dans une délicieuse honte, de crainte de voir reprendre la punition. De se laisser aller ainsi sous la contrainte, déculpabilise complètement et libère la femme qui peut alors laisser s'exprimer son envie de stupre et de luxure sans aucune entrave…(à suivre)

28/05/2009

Proposition indécente ou envie (1)

Mes ordres sont vos désirs ...
Un mail, une invitation, un code…Rendez-vous ce soir à l’hôtel à 20H00…
Après des échanges virtuels sur le Net et le constat de la même interconnexion entre mental et sexe qui les habite, ils ont décidé une rencontre, si importante pour permettre une confirmation de l’attrait réel qu’ils semblent éprouver l’un pour l’autre ou justifier de leur incompatibilité, suivant la formule consacrée.
Le jour du rendez-vous, tous deux passent un après-midi fort en émotions, à anticiper.


Avec une ponctualité étonnante pour une femme, elle se présente à vingt heures sonnantes au lieu convenu, un motel au bord de l’autoroute à Toul, garant sa Honda Jazz noire sur le parking près d’un tout terrain noir.
Elle devine une présence mais semble ne pas faire attention à l’homme non loin dans la pénombre.
Elle est vêtue d’une veste ceinturée et d’une mini jupe d’où s’échappent des jambes galbées de bas noirs à couture mettant en valeur de façon exquise ses hauts escarpins noirs. Elle a élégamment assorti le tout d’une écharpe de soie savamment disposé autour de son cou et porte un sac en bandoulière.
Elle s’est demandée un moment, un bref moment, si elle devait y aller, sa curiosité et surtout son envie a été la plus forte. Elle prend, comme convenu, le papier fixé sur l’essuie glace du 4x4 Landrover noir garé à coté. Au moment de passer sans le savoir tout près de l’homme, elle fait tomber son billet sur le goudron. Elle se penche, genoux serrés, pour le ramasser sans percevoir qu’il la détaille des chevilles à la racine des cheveux en passant par ses fesses cambrées. Elle marche vers l’entrée de l’hôte en tortillant joliment du derrière.
Elle tape le digicode qui est écrit sur le papier et qui lui autorise l’accès. Un escalier, puis un long couloir, puis une porte sur la droite. Son souffle est court quand elle tape à nouveau le digicode sur la porte dont le numéro est également indiqué sur son papier. Elle entre. Ne laisse allumée que la lumière de la salle de bain en laissant légèrement entrouverte la porte pour permettre un éclairage diffus de la pièce. S’assoit sur une chaise, face au lit et dossier contre le mur, place un bandeau sur ses yeux et attend, bras dans le dos et jambes croisées bien haut, buste bien droit. Elle sent l’angoisse l’envahir, le doute lui fait imaginer les pires scénarii. Dans un mail elle avait expliqué ne pas être sûre de vouloir se soumettre aux caprices et fantasmes de l’homme même si elle est prête à repousser les limites du conventionnel ; il lui a dit sa volonté de l'accompagner à son rythme.
L’envie, plus que la curiosité féminine, est plus forte que tout. Elle attend. Il rentre à son tour un peu plus tard. Sans lui parler. Elle l'entend déposer ses clés de voiture, et se diriger près d’elle, vers le lit où elle a étalé tous les jouets qui étaient dans son sac, comme il le lui avait demandé.
« Bonsoir Lou. - Bonjour Monsieur. »
Il prend un bref instant, le soin au passage de détailler ses forts jolies jambes dévoilées par l’entremise d’une jupe très courte. Il n’est pas peu fier de l’avoir estimée à sa juste valeur, à savoir une coquine assurément très très femme jusque dans ses fantasmes et lui dévoilant au passage dans l’échancrure de sa veste, la naissance d’une poitrine généreuse.
« Vous avez suivi mes consignes à la lettre, c’est bien.
Il s’approche encore d’elle et lui souffle dans son cou
« Vous êtes restée encore une femme attirante et désirable,
Il caresse son visage et se penche sur elle…baiser doux sur les lèvres…lui demande de tirer la langue ...la frôle d'un doigt...lui suce la langue ... toute ta langue dans sa bouche .... sa langue à elle part à la rencontre de sa saveur, la pointe pointant hors de sa bouche …il lui donne ses doigts à lécher…se colle alors à elle...mordillant sa nuque …le lobe des oreilles….puis la bouche de l’homme descend le long de son cou…mordille le creux de son épaule...s’attarde sur la peau découverte du haut de sa poitrine …Elle semble prendre goût à ces doux baisers qui se déposent de ci de là sur son corps. Sa peau est douce, soyeuse, parfumée. Elle ne peut ni le voir ni le toucher. Son plaisir est un délicieux supplice. Pour l’homme c’est très excitant et stimulant également. Faire sans être vu…
A suivre…

26/05/2009

Garée devant une église

Est ce nécessaire de préciser, au risque de paraître vulgaire, elle n'a pas coutume de tailler des pipes à des inconnus yeux bandés dans sa voiture .... Comment l'idée était venue de ce rendez-vous étrange, paraît que c'était une évidence !



Garée devant le symbole des âmes bien-pensantes, son rythme cardiaque s'accélère, sa chatte se met à palpiter, ses seins durcissent, tout son être en attente se tend quand elle lit le texto "je suis là dans 2 mn". La portière s'ouvre enfin et Il pénétre sa bulle. Emotion, froissement de tissu, effluves, Il est là, vraiment là. Mains tendues, main posées, caresses, perception du désir, se toucher du bout des doigts. Elle se penche, approche sa bouche impatiente de sa queue encore prisonnière. Elle s'était pourtant promis de prendre le temps de le gouter mais l'envie de le prendre totalement la submerge, Il comprend son empressement et lui offre sa queue dressée .... Il s'enfonce, coulisse, bouge, se meut dans sa bouche douce, humide et accueillante. Elle le quitte et il se réfugie entre ses seins ; elle le voudrait partout à la fois dans sa chatte, entre ses fesses et qu'il force aussi ce passage étroit. Il la fouille profondèment pendant qu'elle le lèche, le savoure comme elle en a souvent rêvé, étonnée de le decouvrir mais aussi de presque le connaitre. Il a posé sa main sur sa nuque et lui impose le rythme, elle le sent proche à gicler et elle s'applique à prolonger l'instant. Bientôt, sa queue s'amplifie, elle perçoit les douces saccades de son foutre qui se répand dans sa bouche. Les plaisirs rares sont des cadeaux précieux.

 Il s'en est allé dans un froissement de tissu, d'une portière qui claque, d'une voiture qui démarre lui laissant un gout sucré, un parfum citronné, la chaleur de sa voix, les empreintes invisibles sur la peau ... les sens exacerbés ....