Dans mes draps froissés,
Enveloppée dans la pénombre,
Pour m'endormir ...
Ma main entre mes cuisses écartées,
Ma main, pour t'imaginer
fourrageant mon antre chaude et humide,
Mon doigt qui se pose
Mon doigt qui s'affaire, s'introduit , s'active,
Mon plaisir qui surgit du fond de mon ventre,
Mon plaisir qui irradie et se répand
Jouissance par ondes successives
Ma main, un pâle ersatz de toi,
a su malgré tout te remplacer.
Apaisée, je me suis endormie.
Une main qui avance masquée de toute évidence! -)
RépondreSupprimer@ psganarel : deshabillez-moi !
RépondreSupprimerCe plaisir qui vous va comme un gant.
RépondreSupprimer@Victor : merci !
RépondreSupprimerIl ne faut jamais remettre à deux mains ce qu'on peut faire avec une... ;-)
RépondreSupprimerC'est joliment exprimé, bien à vous...
RépondreSupprimer@ Flow : vous voyez qu'on est du même avis après mon "commentaire" chez vous, sourire...
@ Valmont : ravie de vous toucher (et Flow)... je m'associe aux lents-deux-mains :))
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