Membres

05/05/2013

Les 24h de Lou (Nocturne)

La pénombre a envahi la pièce, il a retiré une à une les barrières de tissus pour l'avoir contre elle, peau contre peau, la respirer, la faire frissonner dans ses nylons et autres dentelles. Il la guide jusqu'au lit où elle s'allonge sur le ventre.
Il la recouvre de son corps, caresse sa nuque et ses cheveux, l'embrasse. Elle est femme et femelle lascive et se love contre lui en soulevant ses fesses. Ses mains suivent ses courbes, caressent l'arrondi de ses fesses, s'immiscent entre ses cuisses, qu'ils écartent doucement. Dans cette moiteur, il se fraie un doux passage et progresse lentement au fond de ses chairs. Son plaisir fait écho, sa chatte frémit et dispense ses ondes sur toute sa queue.Ses va et vient la transporte, l'électrise, elle ressent les vibrations de son sexe.

Soudain, il se retire doucement mais elle vit l'absence comme une douleur,  pour poser son membre luisant de cyprine devant ses lèvres. Son sexe tendu, arrogant, majestueux trouve alors refuge dans la douceur de sa bouche. Elle l'accueille avec gourmandises,  le reçoit comme un cadeau, l'entourant de douceurs salivaires, sur toute sa longueur, s'attardant à jouer de sa langue pointée, le relâchant pour mieux le reprendre, tétant le gland qui laisse échapper quelques gouttes de son précieux breuvage. 

Leurs mains s'activent sur le corps de l'un, de l'autre, séparément, ensemble. Plaisirs décuplés, sur la pulpe des doigts, sur la langue, sur sa queue. Les reins se creusent un peu plus au fur et à mesure du plaisir qui l'envahit. Sa queue s'affole, se tend avant de répandre ses longs jets salvateurs. Elle se nourrit de lui et  le garde jusque dans les derniers soubresauts du plaisir. 

Doux instants où serrés l'un contre l'autre, les souffles s'apaisent, les caresses sont légères comme des plumes, les baisers à fleur de peau,  les mots des confidences.



Les premières 24h :

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire