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17/06/2009

Sans pudeur mais avec douceur (2)

…ELLE est devant moi, assise sur une chaise, mains à plat sur les cuisses…Elle a suivi les instructions pour sa tenue : veste cintrée, jupe plutôt courte, chemisier blanc, dessous et bas noirs, talons hauts, yeux bandés. Je m’assois sur le lit en vis-à-vis. Je la contemple longuement pour la première fois, silencieux. Je m’avance vers elle. Elle me devine proche sous son masque. Je pose ma main sur son avant-bras, elle a un frisson. Je la fais se relever. Elle est debout, mains jointes devant et tête légèrement inclinée, offerte et attentive. Je viens sentir ses cheveux. Elle se cambre. Je la sens tendue, elle aimerait que je la touche. Son bassin donne de petits coups, presque imperceptibles. J’approche mes lèvres de son oreille et lui chuchote : « Cette rencontre doit être très agréable et vous apporter un moment que vous conserverez comme délicieux dans votre intimité  quoiqu’il arrive par la suite…». Ce sont les seuls mots que je m’autorise car nous n’avons pas prévu de dialogue dans le scénario convenu à l’avance.
Je la goûte des yeux de la tête aux pieds, posant les yeux sur sa poitrine opulente qui tend sa veste. J’ai une folle envie de toucher ses gros appas tant convoité mais je retarde le moment où mes attouchements seront vraiment sexuels, pour l’instant je veux juste la faire languir. Je la prends doucement par la main. La chambre n’est pas grande mais je la fait marcher lentement en la guidant. D’abord hésitante, elle prend de l’assurance. J’aime ce que je vois. Les talons aiguilles allongent sa silhouette et galbent ses jambes ainsi plus convoitées, accentuent la cambrure de ses reins, projettent ses fesses en arrière et obligent à une tenue plus droite de la ligne du dos. Du coup sa démarche est très féminine et voluptueuse. Son corps entier, notamment ses parties les plus érogènes, hanches, cuisses, buste, fesses, se mettent à onduler au moindre mouvement. Et ça me fait craquer. Elle me serre la main très fort. Je l’oblige à s’immobiliser devant la chaise puis à se pencher en avant en prenant appuis sur l’assise. Elle serre et fléchi d’elle-même les genoux ce qui fait cambrer ses fesses et tendre le tissu de la jupe. Je veux profiter de ce spectacle très érotique. Je m’assois à nouveau en face sur le lit et regarde les deux lignes de ses bas couture qui vont se perdre la sous la jupe. Je matte un long moment ce spectacle émouvant. À cet instant je regrette de ne pas avoir d’appareil photo. Je voudrais déjà découvrir et palper son splendide cul. Je l’ai imaginée mainte fois à quatre pattes sur le lit, suçant ma queue pendant que je gémis en pétrissant son cul et la matant dans une glace, stratégiquement placée. De son coté, elle m’imagine peut-être maintenant me caressant comme un voyeur « pervers » devant sa posture indécente.
Mais pour l’instant j’ai envie de la découvrir, bien prendre soin d’elle, doucement, sans me presser. Je m’agenouille, mon visage à hauteur de son cul. Mes mains remontent le long de ses chevilles, suivent la couture jusqu’au genou, arrivent en haut de ses cuisses. Je caresse enfin ses fesses. D’abord timidement, très légèrement, les effleurant à peine. Instinctivement, elle s’est cambrée davantage. Enhardi, je palpe à pleine mains ces deux globes tout entiers à ma convoitise. Je savoure leur fermeté, leur douceur aussi. Je ne me lasse pas de lui caresser le derrière, lui flatter la croupe, lui peloter le cul.
Je l’aide à se relever, lui place doucement les bras dans le dos, mains jointes. Sa respiration s’accélère et rythme son buste. Je pose ma main sur sa poitrine. Elle a comme un mouvement de recul mais très vite se tend en avant. Doucement, sans me presser j’ouvre sa veste puis défais les boutons de son chemisier.  Je joue un moment avec la dentelle, caresse ses seins au travers du soutien-gorge. Elle a les pointes de ses mamelons très dures.
Je me glisse alors dans son dos, je colle mon corps au sien et je prends enfin possession de ses seins dans mes mains dans l’échancrure de sa veste. Ils sont gros et fermes tout en étant d’une souplesse remarquable. Je les malaxe, palpe et pétris très longuement à travers son chemisier. C’est merveilleux. Mon sexe est coincé entre ses fesses et je me frotte également contre ce cul tant désiré.
Je l’embrasse dans le cou pendant que d’une main je continue à lui malaxer un sein et que mon autre main descend vers jupe, vers cette fourche, objet de ma convoitise.  Mes doigts fébriles caressent son bas ventre au travers du tissu de la jupe. Elle commence à aimer cette sensation d’abandon qui s’insinue de plus en plus en elle. Elle s’arque-boute et tente de tourner son visage vers moi. La suite plus tard…

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