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16/06/2009

Sans pudeur mais avec douceur (1)

Ou êtes-vous ? Comment êtes-vous habillée ? Que faites-vous ?...

Je rentre du travail fatigué, rincé, ce n’était pas une bonne journée Je n'ai qu'une hâte, celle d'aller me coucher pour dormir. Je m’allonge  comme d’habitude sans réveiller l’autre. Il ne me faut que quelques minutes pour rejoindre les bras de Morphée et très rapidement mon cerveau se met en ébullition…Je suis ailleurs. Je pousse la porte d’une chambre laissée entre-ouverte…Je rentre et je la vois, assise sur une chaise, sage, résolue et m’attendant dos droit et jambes croisées bien haut, je souris de la voir ainsi, sa posture me plait et sa tenue est comme je l’avais demandé et encore mieux que je ne l’avais imaginé. ELLE m’est enfin accessible...

Elle m’a déjà envoyé par le passé des photos d’elle où l’on voit seulement des parties de son corps. Tout est une question de dosage, elle me laisse le plaisir de deviner son corps, le corps de cette femme qui me plait. Je fantasme déjà à longueur de journée sur son cul, sur ses mamelles gonflées, sur sa bouche gourmande. Et j’ai l'impression qu'il existe encore une petite conquête à réaliser, bien qu’elle m’a considérablement la tâche ce soir. Elle est très femme comme je l’avais écrit : ensemble tailleur avec une veste cintrée entrouverte, chemisier, jupe courte, bas couture fins, talons aiguille, sourire avenant, mains manucurées… maquillée juste comme il faut, elle est à croquer sans être vulgaire. Certes, elle est trop sexy pour aller à la messe, mais la tenue serait idéale pour une secrétaire qui viendrait pour un entretien d’embauche dans le service marketing.
Elle porte un masque de nuit sur les yeux et ne peut me voir. De mon coté, je ne peux m’empêcher de reluquer ses seins, rehaussés par un soutien gorge à balconnet, qui pointent par l’échancrure du chemisier. J’avais été fasciné étant plus jeune par la paire de gros nibards qu’avait la prof de Français mais je n’ai jamais privilégié  les gosses mamelles à toute autre considération depuis… Pourtant, sans être obsédé par ce genre de caractéristiques, je dois dire que ce n’est pas non plus pour me déplaire qu’elle fasse du 95C et déjà je sens que je vais apprécier d’avoir les mains bien remplies, une fois n’est pas coutume. Sa mini-jupe montre agréablement ses jambes soudain elle décroise et recroise les jambes dévoilant ses cuisses gainées de ses superbes bas couture. Elle porte des bas avec un porte-jarretelles et çà je dois dire que ça m’excite pas mal de voir la lisière avec les attaches des jarretières.
On avait décidé au préalable de fixer les règles du jeu pour la première fois. Elles permettent de mettre en place des relations mieux définies. J’ai posé règles suivantes : la première, on doit se rencontrer dans un motel et elle devra m’attendre dans la chambre. La seconde, elle ne me connaîtra pas et tout ce qui pourrait concourir à me faire connaître doit être exclu du jeu. La troisième, elle doit suivre les consignes pour la tenue. La dernière, elle devra amener avec elle ses sex-toys et une paire de bas pour des jeux coquins. De son coté, elle a précisé un scénario où il n’y aurait pas de paroles, le seul sens que nous utiliserions serait le toucher, l’ouïe, l’odorat et le gout et elle ne prévoit pas explicitement de pénétration sexuelle, de sodomie, de jeux de liens. Nous pouvons jouer avec uniquement la bouche et les doigts. Le plaisir devait être « pervers » et devait donner une suite possible. Avant d’avoir envie d’aller plus loin, nous nous réservions…

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