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30/12/2009

Le nouvel an de Lou

 par Lui pour Elle 


…Je veux être à toi, Indy, chienne soumise et obéissante à tous tes fantasmes heureuse de me soumettre à tes désirs les plus fous. Je suis en train de te lire et je me doigte la chatte vicieusement bien que tu me l’as interdit (je mérite une punition ?). Tu entends comme je gémis ?
Je gueule mon envie d'être enculée, de sentir ta queue me pourfendre et m'investir en conquérant. Je gueule mon envie de sucer ta bite, de lécher tes couilles et ton cul. De boire ton miel qui gicle au fond de ma gorge assoiffée.
Violence et douceur. Plaisir et douleur. Je ne sais plus. Je veux être toute à la fois maîtresse de ton plaisir et esclave de tes désirs.
Je divague au gré de nos délires sans opposer aucune résistance à cette lame de fond qui m'entraîne. Je suis sans force et je suis femme. Objet de plaisir et de convoitise de tes fantasmes.
Quand je te lis, des images naissent en moi, des images obscènes de moi en putain docile ou en esclave soumise. Les mots que tu m’écris et que je lis sur l'écran froid de mon ordinateur en me branlant la chatte me lacèrent par leur impudeur et leur obscénité.
Depuis longtemps, je porte en moi ce fantasme de soumission, d’obéissance sans condition, sans avoir encore jamais osé franchir le pas ou, du moins, aller véritablement jusqu’au bout de ce que cela implique. Vertige de l’abandon des sens…

Ce soir c’est le réveillon. En cette veille de nouvel an, je suis seule chez moi en déshabillé et dépoitraillée, buvant une coupe de champagne et me caressant la chatte en pensant à toi.
J’entends un bruit…
Surprise! Un homme est là, sac à  la main et avec un bas sur le visage avec des ouvertures pour sa bouche et ses yeux. Il n’y a aucun doute c’est un voleur. J’ai encore oublié de fermer la porte à clef !
- Mais…qui êtes vous ? Que faites vous chez moi ! Sortez ou j’appelle la police…
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L’homme s’approche de moi. Je suis comme pétrifiée. Je me trouve nez à nez avec son couteau, qu'il a sorti d’une poche.
- Bouge pas, ma jolie. Tu ne cries pas, tu n'appelles pas, tu restes bien tranquille et tout va bien se passer.
Alors là, je suis clouée, sidérée, je commence à trembler, mes lèvres s'ouvrent...
- DU CALME.
Il me tient par le bras, m'amène vers une chaise et me fait asseoir.
- Ne bouge pas. Mets tes mains derrière le dos.
Il tire de son sac un foulard, me tire les bras derrière le dossier et m’attache les poignets. Je tente de réagir:
- Que voulez-vous?
La réponse est laconique :
- LA FERME
Il se met derrière moi et pose ses mains sur ma poitrine en approchant sa bouche de mon oreille.
- Humm çà m’a l’air appétissant tout çà. Je suis un veinard de tomber sur une bourge comme çà avec de grosses mamelles à traire…
Je suis choquée par sa vulgarité et en même temps j’ai honte. Ses mains  manipulent mes seins l’un après l’autre sans précaution. Mais, curieusement, ce manque de tact ne fait qu'accroître un peu plus mon excitation en même temps que mon anxiété augmente.
- Laissez-moi…je suis une femme bien comme il faut…je vous en prrr..
Je reçois deux claques soutenues sur les fesses sans être violentes.
- Ta gueule salope. J’ai tous les droits sur toi
Il prend maintenant mes gros seins à pleines mains et les tords assez durement ; je gémis puis il s’empare de mes tétons qui pointent déjà sous le tissu et les pince du bout des doigts.
- C’est vrai que tu as des nichons de grosse pute
- Aïe, dis-je restant immobile pour éviter son courroux.
Il part fouiller dans son sac et m’enfile un bas sur ta tête. Je me sens obscène et impuissante, le visage saucissonné dans la soie…
- Ohhh j’ai peur. Arrêtez tout de suite sinon j’appelle…
Il attrape la bouteille de champagne que j’ai commencé à déguster avant son arrivée.
- Aaaah ! vous n’allez pas... nooooooon !
Il approche la bouteille de mes lèvres. Je tente de reculer la tête mais il arrose mon visage, ma poitrine. Mes seins sont tout durs, les pointes sont érigées sous le tissu comme jamais. C’est pire que si je n’avais rien mis et on peut me voir les nichons bien moulés dans le tissu mouillé.
Il me présente à nouveau le goulot.
- Bois... me dit-il en versant doucement dans ta bouche. Gênée par le bas je suis obligée de téter le goulot de façon grotesque, me mettant du liquide partout.
- Il me met la langue dans l’oreille
- Tu aimes ça le vice…pute
Il me lèche entièrement le visage de façon obscène comme pour nettoyer tout le champagne qui est sur ma figure. Je trouve cette caresse terriblement indécente mais aussi très érotique.
Mes mamelons sont en érections et me font presque mal…Il s’en aperçoit et lèche pendant un long moment mes seins, les suce, les mordille.
Je commence à être vraiment excitée mais je ne veux pas lui avouer. Je tente encore une fois :
- Je vous en prie...laissez-moi, laissez-moi partir...prenez mon argent, mes bijoux, laissez-moi...
- Tes bijoux m'intéressent surement...mais pour le moment seul ton corps de bourge m'intéresse...tu vas faire exactement ce que je te dis...
- Non... laissez-moi, je vous en prie...
- TAIS-TOI!
Il appuie ses paroles en sortant à  nouveau le couteau devant mon nez.
- Je veux voir maintenant tes gros appas…
Avec appréhension je vois la lame de son couteau écarter ma nuisette avec application. Je ferme les yeux et frémis quand le métal froid touche ma peau. Il use et abuse de ma peur en caressant de sa lame mes mamelons. Je me sens fondre…
- J’ai trop peur ! Cessez tout de suite…Aiiiie !
Il a piqué gentiment dans un sein, m’électrisant tout le corps.
- Tu n'ouvriras la bouche que quand tu y seras autorisée...et tu demanderas poliment....sinon gare à  toi, compris? D’ailleurs je vais te faire taire une fois pour toute…
Il me crache sur le visage puis me lèche à nouveau de façon terriblement perverse. En même temps sa main se glisse vers ma chatte qu’il commence à malaxer à travers le string.
-HUUMMMMMM
Je sens que je suis toute mouillée. Je ne veux pas qu’il le voit. J’essaye de serrer les cuisses mais je me défends mollement comme si je recherchais en fait le contact de ses doigts dans mon intimité.
Il m’enlève mon slip trempé de ma mouille et le présente devant mon visage. Je proteste :
- Non, je vous en prie... pas ça, je vous en pr...
Mes supplications sont brusquement stoppées par le bâillon improvisé que l'homme m'enfonce sans ménagement dans la bouche en dessous du bas. 
Je me retrouve solidement attachée  à la chaise, mains derrière le dos. Mais ce n'est pas fini. L'homme sort maintenant un foulard noir et le pose sur tes yeux. Je tente de protester :
- Mmmpphhh........
Mais je me retrouve rapidement aveuglée. Il chuchote à mon oreille :
- Maintenant, je vais m'occuper de toi; mais d'abord, je vais vérifier qu’il n’y a plus rien à dérober ici. Ensuite nous nous amuserons... comme je l'aurai choisi. Ne crains rien, je ne veux pas te faire de
mal, juste t'amener à un plaisir...différent.
Il me caresse les seins, puis les cuisses; je frissonne en gémissant involontairement.
-  Je vois que Madame aime çà…Je reviens tout à l'heure.
Je sens qu'il s'éloigne. Je suis maintenant seule, dans le noir, immobilisée. Je me demande ce qui m'arrive, j’ai envie de pleurnicher. Je m'applique à respirer du mieux possible. De longues minutes passent.
Je ne sais pas quand c'est arrivé, mais maintenant je le sens. Mes sens sont exacerbés, je commence à  respirer de plus en plus fort, je lutte, mais je sais, quelque part, que ça m’excite. Je serre les cuisses, je sens la chaleur m'envahir, je sens aussi l'humidité venir, là, dans mon sexe. je me dis : "c'est pas possible, pas maintenant..." mais je ne peux résister. Je commence à te tortiller dans mes liens, je gémis sous mon bâillon, j’ai besoin de quelque chose, de quelqu'un, là, qui me touche, TOUT DE SUITE!
Un bruit de pas. L'homme est là. Que va t-il faire ? Me violer ?
Non ce n’est pas possible... pas comme ça... pas avec cet individu... Non mais pour qui se prend-il???? Que s'imagine-t-il? Que je vais comme ça lui céder... Mais que m'arrive-t-il... Il faut que je me contrôle... Il ne doit pas me trouver dans cet état.... j’ai la chatte trempée rien qu'à l'idée de ce qu'il peut me faire... D'ailleurs que va-t-il me faire...
Je me tortille encore, essaye de te défaire de mes liens. Mes mouvements sont désordonnés et, sans que j'y fasse attention, j’ai largement écarté mes jambes dévoilant ma chatte....
- Pas mal, le spectacle
Je tressaille au son de sa voix et, précipitamment je resserre brusquement mes cuisses et croise les jambes. Je sens qu’il s’agenouille devant moi, sa main passe longuement sur mes jambes, remonte sur une cuisse. Il lèche mes bas en remontant des chevilles vers le haut. Je frémis.
- Ecarte !
L'ordre claque. Un ton qui ne supporte aucune réplique. Non je ne veux pas....
JE resserre davantage les jambes et me replie autant que je le peux sur moi même, essayant de me cacher....
- Redresse toi... et écarte tes jambes... TOUT DE SUITE
Le ton est dur. Menaçant presque. Je ne comprends pas ce qui m'arrive. J’ai une folle envie de faire ce qu'il t’ordonne mais je ne peux pas.... Je sursaute. Sa main est dans mes cheveux. Il me tire brutalement la tête en arrière et m'assène une gifle. Pas fort. Mais une gifle quand même.
- Tu obéis quand je te l'ordonne. Montre-moi ta chatte
Je suis terrifiée mais, en même temps, excitée comme je ne l’ai jamais été encore. Je t'exécute, sans plus opposer de résistance. J’ai trop peur d'une autre gifle ou je ne sais quoi de pire.... sa main se pose sur ma chatte qu'elle enveloppe de sa chaleur..... Ses doigts s'immiscent entre mes lèvres...
- Mais c'est quelle mouille plus que tout à l’heure, la grosse salope ...une vraie fontaine. On dirait qu’elle pisse tellement elle mouille !
La caresse se fait plus précise, m'arrachant un gémissement de plaisir que je n'arrive malgré tous mes efforts à contenir...
- Mais c'est quelle aime ça... Hummmm, je crois qu'on va bien s'amuser tous les
deux....
Déjà il s'éloigne... Tout mon corps tremble mais je ne sais plus si c’est de peur ou de désir. Les deux à la fois…. Que va-t-il faire?
- Tu vas faire exactement ce que je te dis...sinon il pourrait bien t'arriver des ennuis... tu n'as pas envie d'être blessée, n'est ce pas?
Non, je n'en ai pas envie...mais j’ai envie d'autre chose, je ne sais pas quoi...ou plutôt si, je sais: j’ai envie qu'il me baise, maintenant! c'est maintenant clair: contre toute attente, il m'a excitée. Je me révolte contre cette idée, mon corps se tend, mais ma chatte mouille toujours...
J’entends un bruit vers la cuisine. Il revient, encore. Cette fois, c'est une sensation de froid qui me saisit, sur l'épaule gauche; cela se déplace ensuite vers ma poitrine, j’ai un mouvement de recul, vite arrêté; un frisson me saisit, je comprends ce qui se passe: il est en train de promener un glaçon sur mon corps, et plus particulièrement sur mes seins; cela a pour effet de durcir encore mes tétons, et cela m'arrache un gémissement réprimé par le bâillon de fortune (ma propre culotte)...
- MMMhhhhh...........
- Tu aimes, hein?
- NNNhhh...
Le glaçon descend maintenant vers mon nombril; là, c'est vraiment froid, je gémis et frissonnes de plus en plus. Puis le froid descend vers mes cuisses et mon sexe...L'homme joue un moment avec mon clito. La sensation est curieuse...cela m'excite quand même, je bouge pour le faire savoir, mon ventre se tend, j’ai tendance à écarter grand les cuisses...
- Excitée ma grosse chatte ? tu vas avoir le temps...tout le temps...
Il retire le glaçon. Retour vers mes seins, qui durcissent à nouveau quand il tire dessus. Je sens qu'il s'arrête et qu'il prend quelque chose. Douleur vive sur le sein droit, cri étouffé de ma part. C'est une pince! Il vient de me poser une pince à linge sur le sein!
Ce type est fou! L'excitation retombe un peu, je tente de crier…Huuuuummmppffff  Autre douleur, au sein gauche cette fois-ci. Je sens qu'il y a quelque chose au bout des pinces, sans doute une chaînette. Il m’aide à me mettre debout puis me conduit vers le sofa ou il me fait m’allonger en ramenant mes jambes vers moi bien écartées. A nouveau je le sens fouiller ma moule avec ses doigts. Je mouille abondamment et sa main n’a pas de mal à rentrer dans ma chatte. Je me sens remplie comme jamais je ne l’ai été. Il m’empale de ses doigts. Profondément.
Ses doigts atteignent et excitent des zones que personne encore n’a touchées de cette manière et dont je n’avais même pas conscience. Je suis complètement tétanisée. Au bord de l’orgasme. Un plaisir sauvage, d’une extrême violence qui grandit, prêt à exploser malgré ou à cause de la souffrance qu’il m’inflige en tirant sur mes seins et qui intensifie toutes mes sensations. J’ai beau essayer de me convaincre du contraire, mon corps aime ce qu’il est en train de subir. Il ressort alors sa main.
- Hmmmmmm, mais c’est qu’elle aime ça la salope. Tiens lèche…
Il m’arrache le bâillon et porte à mes lèvres sa main mouillée de mon suc. Je détourne la tête mais il m’agrippe par les cheveux et enfonce ses doigts dans ma bouche.
- Bien… vas-y lèche, encore, comme la chienne en chaleur que tu es. Tu aimes ça, hein… Tu es vraiment une moins que rien, attends…
Mais voilà qu'un nouvel élément entre un jeu: un objet force ta chatte...il me semble reconnaître quelque chose de vaguement familier...une bouteille. Je manque de m’étrangler et bien que la douleur des pinces sur mes tétons soit bien présente, j’essaye de me concentrer sur mon sexe...Il ne va tout de même pas ?
Il pousse sur le goulot et me l’introduit dans mon vagin déjà distendu jusqu'au bout de la collerette dorée. D'un mouvement rapide, il secoue la bouteille, ce qui a pour effet de faire pénétrer une large rasade de champagne dans mon trou. Je pense tout haut :
‘Ahhhh...c'est froid...ça pique, c'est délicieusement piquant. Il m'en a mis plein la chatte le gros cochon !’  . Je suis surprise je sens qu’il me détache les mains. Je suis un peu plus détendue.
- N’en profite pas et fais ce que je t’ordonne grosse chienne. Allez relève plus les fesses !
Profitant que ce j’ai le cul bien en l'air en position renversée, il se glisse entre mes cuisses, et lorsque j’abaisse mes jambes sur ses épaules, sa bouche est déjà collée à ma fente dégoulinante, ses mains plaquant fermement mes hanches. Il aspire alors fortement le divin nectar qui s'écoule naturellement de mon vagin, frais mélange pétillant de champagne et de cyprine. Ca a l’air d’être un délice merveilleux qu’il avale goulûment le cochon. Il me remplit à nouveau avant de positionner le goulot sur mon cul, de l'y enfoncer profondément et d'en déverser le contenu à l'intérieur. Je sens le liquide froid et pétillant couler au fond de mon ventre. J’ai maintenant la bouteille bien fichée dans mon cul et je le sens se reculer un peu comme s'il voulait mieux me contempler ainsi enculée par une bouteille. D'un mouvement nonchalant il secoue, puis il l'enfonce plus profondément bouchant hermétiquement mon cul. Puis il me demande:
- Tiens la bouteille... voilà  comme ça... tiens là bien enfoncée... je ne veux pas voir la moindre goutte couler avant que je te le dise, compris?
- Hummmmpffff
J’entoure de mes mains la bouteille autour de laquelle je resserre désespérément mon sphincter.
J’entends alors un bruit d’appareil numérique et devine qu’il commencer à me photographier dans cette position pour le moins obscène. Je m’imagine si bien dans cette position jambes haut relevées bien écartées, une bouteille plantée dans mon cul, le ventre transpercé de crampes et le sexe trempé palpitant d'excitation !
- Vas-y, relâche-toi doucement, me dit-il tout en continuant de me mitrailler avec son appareil, de petits jets... voilà comme ça... vas-y... relâche... Arrête... encore un peu... Ah si tu te voyais..... Revide-toi... Bien...
Docilement, j’exécute tout ce qu’il me demande, sentant, à lui obéir, l'excitation s'amplifier en moi. Sans que je puisse me retenir, je sens le reste du liquide dégouliner le long de mes cuisses et se répandre sous mon dos. Je me relâche, soulagée mais il me remplit les deux trous à nouveau. Il m’enlève même le bâillon de la bouche et me force à boire une rasade sans avaler.
Il me prend la queue de cheval, la tire vers l'arrière et se penche vers moi pour me chuchoter quelque chose à l'oreille:
- Ecoute-moi bien. Tu vas être obligée de te promener avec ce champagne dans ta bouche, ta chatte et dans ton cul sans en renverser. Si tu y arrives, tu auras le droit d'être baisée par tous les trous et de jouir encore...ensuite je disparaîtrai, sans plus de manières. Mais si tu n'y arrives pas, s’il tombe une seule goutte par terre...(un silence). Tu seras fessée...et puis je profiterai de toi...de toutes les manières possibles...et je veillerai à ce que tu ne puisses pas jouir...tu vois où est ton intérêt, grosse salope?
Oui, je vois bien mon intérêt. Je hoche la tête affirmativement en baissant la tête, j’ai compris. Inutile de résister à cet homme, il me contrôle totalement, pour l'instant; il faut me soumettre à sa volonté, tâché de t'en sortir du mieux possible.
Pour corser la chose, il m’attache à nouveau les mains derrière ainsi que les jambes bien serrées au dessus des genoux. Fiévreusement je réfléchis aux moyens possibles de te sortir de cette situation.
Je me tortille désespérément sur le sofa essayant, sans résultat de me libérer de ces liens qui, au contraire, se resserrent encore plus étroitement.
Il faut que je trouve quelque chose. Mais quoi. Mon cœur bat à tout rompre prêt à exploser. J’ai peur, PEUR…. Je suis complètement à la merci de l’homme. Attachée. Ne pouvant émettre le moindre son. Je suis soulagée quand il me retire le bandeau des yeux. Je sui un instant éblouie mais je peux distinguer grossièrement l’homme à travers le bas sur mon visage. Il tient d’une main une baguette.
Soudain il tire sur la chaînette reliée  à mes mamelons :
- Allez, lève-toi pute !
Je sursaute violemment. Il m’oblige à le suivre en me promenant par le bout des seins. La sensation éprouvée me fait frissonner malgré la douleur. Il s’assoit sur une chaise et m’oblige à me mettre de profil devant lui et à me pencher, toujours en tirant sur la chaînette. Soudain aussi je prends conscience qu’il est là, tout prés, se délectant du spectacle de mon affolement et cela l'excite extraordinairement. Mais pas question que je lui offre ce qu’il me demande. ‘’ Pour qui me prend-il ? Mais que faire……’’.. Il tire davantage sur mes seins tout en me donnant un coup de baguette sur les fesses.
- Shhhlakkk
- Huuuuumppffff
J’ai failli avaler le liquide dans ma bouche, plus surprise par le coup que par la douleur. Je dois faire attention pour qu’il ne mette pas ses menaces à exécutions.
- Cambre plus ton gros cul de salope, allez mieux que ça !
Je mouille à nouveau. Ma chatte ruisselle de désir. ‘Non, ce n’est pas possible….. je ne veux pas. Je ne peux pas éprouver du désir. Pas dans ces circonstances.’ Mais je ne peux rien contre ce qui se passe et qui échappe à mon contrôle. Je ne maîtrise plus rien. Je vois mentalement l’image de moi, obscène, bas sur la figure, mes genoux serrés juchée sur des talons aiguilles, mon cul cambré exagérément, mes gros seins qui pendent, les mains attachées dans le dos… Je me sens objet sexuel aux mains d’un vicieux et ça m’excite. Le désir est là et bien là quoique je fasse et quoiqu'il se passe. D’autant plus que je ressens de plus en plus le pincement qu’infligent les pinces à mes tétons quand il tire dessus avec un malin plaisir.. Contre toute attente, la douleur ressentie loin de te déplaire au contraire exacerbe tes sensations. Mes seins sont tendus, étirés. La sensation se propage de mes seins à mon sexe. Accentuée encore par les claques qu’il m’assène sur le cul avec la baguette. Je devine qu’il a sorti sa queue et qu’il commence à se branler devant l’image fétichiste que je donne de moi. Je sens mon clito gonfler à son tour et commencer à palpiter. NON... NON...
- Maintenant tourne toi que je puisse mater ton cul !
Je suis moins choquée par la vulgarité  de ses propos et au fond de moi, même si je ne veux pas le reconnaître, je commence à aimer qu’il me rabaisse ainsi, m’insulte, me traite de grosse salope, de grosse cochonne, de grosse truie, de grosse quelque chose… Je plie davantage les genoux pour faire ressortir mon cul de façon plus grotesque encore. Je suis presque fière maintenant d’être ainsi exhibée à la convoitise d’un male en rut. Je sens son souffle s’accélérer avec son désir. Je ne bouge plus. Le moindre de mes mouvements est à la fois douloureux et source de désir de plus en plus pressant. Mon corps est tendu à l’extrême. Mes nerfs à vif…. Un long moment se passe ainsi. Seul son souffle, de plus en plus précipité brise le silence. Toute mon attention se concentre à ce qui se passe entre mes jambes. Au plaisir que malgré toi, je sens monter, croître… A la chaleur qui envahit mon ventre… Imperceptiblement mes hanches commencent à bouger…… Recherchent le contact de la baguette ……. que j’ai envie de sentir frapper plus souvent mon gros cul. J’ai pensé ‘gros cul’ ?
Justement il me claque le derrière et je sens un doigt qui s’introduit entre mes fesses et me tire brutalement de ma rêverie.
Mais que m’arrive-t-il ? J’avais presque oublié sa présence. Mon excitation retombe brutalement… Je suis sûre qu’il l’a fait exprès….. Qu’il a senti que je commençais à lui échapper…. Mais oui… Elle est là, la solution… Il faut que je jouisse et ainsi c’est moi qui mènerais le jeu après…. Je me tortille afin de m’enfoncer au maximum sur son doigt. Voilà… un mouvement de mon bassin en arrière, et je le sens qui s’enfonce complètement dans mon anus…. hmmmm.
Il me le fait ensuite lécher le salaud, puis le remet. Des vibrations m’envahissent. Je les sens irradier à l’intérieur de mon vagin…..A toute force, j’essaye de me concentrer. Il faut que je jouisse. Mais ma chatte est tellement tendue que les sensations éprouvées en deviennent douloureuses. Mes nerfs sont trop à vif. Je n’y arriverai pas… L’excitation était trop grande tout à l’heure et je l’ai trop contenue…J’en pleurerais de dépit. Pourtant j’ai tellement envie. Je sens mon désir tapi, prêt à     exploser mais retenu par je ne sais quoi. J’ai tellement envie que j’en ai mal.
- Oui grosse salope salope pousse bien tons gros derrière, encule-toi bien sur mon indexe…Ah tu aimes çà qu’on soit bien cochon avec toi. Tu aimes ça le vice hein…
La bouche toujours pleine je glousse comme une poule.
- Hoooooooooooooo
Je veux jouir. Il suffirait, je le sais, qu’il me touche mon clito. Mais cela m’est totalement impossible. S’il pouvait me branler la chatte en même temps…Je me surprends à désirer ses doigts en moi ! NON ce n’est pas possible. Je me conduis comme une catin !...Mais c’est si bon d’être ainsi soumise à toutes les envies d’un homme, à tous ses caprices, à toutes ses perversions…
- A genoux chienne
Je me retourne et m’exécute en constant qu’il bande fort maintenant.
- Alors, ma belle, comme ça tu pensais que j’allais te mettre ma bite dans le fion et que tu allais jouir…. Je sais que tu aimes ça te faire enculer. Mais tu vas d’abord recevoir mon foutre sur la gueule telle la dernière des traînées.  
La voix est dure, impitoyable… J’ai honte également car il a décelé mon envie de jouir.
- Tu n’es qu’une sale pute et je vais te traiter comme telle. Tu vas être mon esclave. Viens me lécher les couilles.
Je me mets à sangloter. Avec le champagne dans la bouche, j’essaye de bredouiller des mots
mais seuls des grognements indistincts s’échappent…. Je sais maintenant qu’il peut tout faire et que je n’ai aucun moyen d’échapper.
Il me fait approcher en me tirant vers lui par les nichons. Une douleur brutale traverse mes seins m’arrachant un cri que j’essaye d’étouffer. Trop tard. J’ai avalé. Il a violemment appuyé sur les deux pinces enserrant mes tétons dans un étau de feu.
- Ce n’est qu’un début, salope….. histoire de te donner un avant goût de ce que tu vas subir. Ouvre grand la bouche…Hum. Tu m’as désobéi tu as tout avalé. Tu es à moi et à partir de maintenant, j’ai tous les droits sur toi……
Il me frappe en même temps le visage à grands coups de bite et en m’obligeant à faire sortir ma langue de façon obscène à travers le bas.
Je gémis, je suis maintenant complètement désespérée, totalement à sa merci; il se branle maintenant sur mes joues, sous mon nez, sur mes lèvres. J’essaye, entre deux sanglots, de le supplier:
- Je vous en prie...laissez-moi, partez…vous avez eu ce que vous voulez avec moi…prenez ce que vous voulez, partez…
Il me lèche le visage puis me crache dessus à nouveau.
- Tes jérémiades ne m'intéressent pas...seul ton corps de grosse pute m'intéresse...tu vas faire exactement ce que je te dis...
- Non... laissez-moi, je vous en prie...
- TAIS-TOI! Et reste cambrée. Obéis sinon, pour te punir, je te fouette avec ma ceinture.
Il appuie ses paroles d'une claque soutenue et continue de s’astiquer le membre.
- Tu n'ouvriras la bouche que quand tu y seras autorisée...et tu demanderas poliment....sinon je remets ton bâillon, compris? Allez lèche.
Je ravale mes larmes et acquiesce de la tête. Il me faut feindre, attendre, gagner du temps; peut-être qu'une opportunité se présentera, peut-être qu'une solution se fera jour...pour l'instant, je suis brisée, déroutée, désespérée; il va profiter de moi et je ne pourrais pas éviter...certaines choses que je crains...ou que je ddésire Je ne sais pas...Je ne sais plus…
Il coupe un trou dans le bas avec son couteau pour faire apparaître ma bouche. Il me tire par les sens pour s’enfoncer complètement, me faisant hoqueter. Excité de voir uniquement mes lèvres autour de sa queue, mon visage dissimulé par la soie, il me baise la bouche comme si c’était un sexe avec des grands HAN de bûcheron. Ca me fait baver de salive quand ses boules cognent contre mon menton en claquant.
Puis je lui lèche les couilles pendant qu’il se branle, attentive à la montée de plaisir qui soudain jaillit en de longs jets qui se déversent sur mon visage. Je sens l’odeur de son sperme et je sors encore plus la langue, comme malgré moi, pour goûter sa saveur acre et salée. Il se déverse sur moi en criant et je lèche encore, sans qu’il me le demande, du bout de la langue, les dernières gouttes qui perlent de son sexe. Au bout d’un long moment, il me détache :
- Debout, sale pute! Déshabille-toi complètement.
J’obéis rapidement et je me retrouve nue, je sens que mes cuisses sont encore trempées. Bizarrement, je ne suis pas gênée de montrer ce spectacle. Quand je relève la tête, je vois qu'il est devant moi, brandissant une fine baguette.
- Ecoute-moi attentivement grosse salope. Maintenant tu es mon esclave. Je vais commencer à te donner des ordres. Pour chaque ordre qui ne sera pas IMMEDIATEMENT exécuté, tu auras le droit…de recevoir un coup de baguette, comme ceci.
Il abat brusquement la baguette contre mon sein droit.
- AAAhhhh! Non, non, pitié....
La douleur est violente, mais moins pire que ce que j’aurais cru.
- Si tu dois t'adresser à moi, tu m'appelleras Maître et tu me vouvoieras.
Compris?
- Oui...je...
Il brandit la baguette.
- ...Maître.
- Bien. Etant donné que tu es une pute, et mon esclave en ce moment, tu vas me répéter cela gentiment. Compris?
Je ressens un pincement au cœur. L'humiliation commence.
- Je...je suis une...pute et...votre esclave.(Suis-je VRAIMENT devenue cela ?)
Il brandit encore la baguette. Je lis sa détermination dans ses yeux, comprends qu'il ne plaisante pas.
- ..... Maître.
- Allez esclave tu vas aller aux toilettes pour vider ton lavement.
Tu es soulagée. C'est vrai qu'après tout ce champagne, tu as aussi envie d'uriner.
- Excusez-moi un instant…Maître.
- Et garde ton bas sur la tête ! Tu vas en avoir besoin…
Que veux-t-il dire ? Je me lève et pars vers la salle de bain. Je rentre dans la baignoire et m’accroupi.  
La porte s’ouvre. L’homme apparaît entièrement nu alors que je suis là, jambes bien ouvertes avec le bruit de mon urine dorée s'écoulant dans la baignoire.
- Que faites-vous là ? Mais…
- J’ai tous les droits esclave !
Il s’approche de toi et glisse sa main entre mes cuisses et se met à caresser mon entrejambe pendant que le jet chaud se déverse sur mes doigts. Je suis comme sous l'effet de l'alcool pour ainsi me laisser fouiller mon intimité sans rien dire, dans un moment aussi personnel…Il se penche même pour lécher les perles de ta rosée qui coulent sur ma touffe hummmmmm….
Comment sait-il que j’aime l'amour mouillé et que dans mes fantasmes plus c'est cochon plus je perds la tête et ça m'excite ?
Il approche sa queue au-dessus de la baignoire et se met à son tour à pisser. Il doit faire des efforts car il bande encore un peu et ça ne vient pas facilement. Il vise d’abord ma chatte puis mes seins et son urine chaude coule merveilleusement sur ma foufoune, mes nichons, mon ventre et mes cuisses.
Je me branle au fond de la baignoire en me faisant arroser de pipi. C’est terriblement excitant et je perds toute contenance.
Au bout d’un moment il me permet de me doucher et de revenir rapidement vers lui, assis sur le sofa. Il me fait mettre à quatre pattes.
Mais que fait-il? Il me lèche à  présent, la caresse est incroyable, il me lèche la raie des fesses, puis le trou du cul, puis le clito, et recommence; sa douceur est irréaliste, le plaisir revient, je me relâche légèrement, je sens sa langue contre mon trou du cul, et de moi-même, je viens m'empaler contre sa
langue..qui me pénètre lentement...très lentement...c'est insupportable...et tellement bon...
- AAAAHHHH....
- Alors sale pute...tu aimes prendre ma langue dans ton cul...
- OOOhhh...Oui Maître...
- Tant mieux...parce que ce n'est pas fini...
Il enfonce lentement une bougie dans mon vagin...encore des sensations...puis il enfonce une autre bougie dans mon cul…remplie par deux endroits...je commence à m'abandonner...je ferme les yeux...
Il continue son va-et-vient dans mon cul, lentement, rythmé avec la bougie dans ma chatte. Je me concentre sur ce qui se passe entre mes jambes, la chaleur est intense, je gémis, je n'en peux plus...le plaisir monte, lentement. ma circulation s'accélère, j’oublie la position, les douleurs, la situation, je ne suis plus qu'un objet, pénétré par deux pines de cire, un animal, une chienne...
Il touche mon clitoris et la vague de plaisir arrive sans prévenir, m'enveloppe d'un chaleur inconnue jusqu'à présent, et dure, dure tandis qu'il me pilonne, cette fois sans ménagement...Je crie, m'abandonne, c'est bizarre, terrifiant, et à la fois diaboliquement bon...
Je n’ai pas le temps de souffler.
- Redresse-toi salope. Tu as osé  jouir sans ma permission. Tu vas être punie. Allez ! Ecarte les jambes, esclave !
J’obéis sans tarder. J’ai compris qu'il ne faut pas jouer avec lui, je n'aurais pas l'avantage pour le moment. Il s'approche de moi et joue avec mon sexe encore mouillé.
- Tu as été excitée, n'est-ce-pas?
Il caresse mon clito, qui ne tarde pas à grossir de nouveau.
- Je...Oui, maître.
Il me jette un regard froid. Il retire ses doigts et les porte à mes lèvres.
- Lèche, esclave.
Un moment d'hésitation, vite interrompu par un regard de l'homme. Je lèche ses doigts, les aspires entre mes lèvres. Il m'est déjà arrivé de me lécher les doigts après m'être caressée, je connais mon goût. Mais dans ces conditions...La caresse se prolonge, il prend, bien évidemment, du plaisir à m'humilier à nouveau comme cela. Quant à moi, je souhaite que cela finisse au plus vite. Il retire enfin les doigts de mes lèvres, se retourne et prend encore du matériel dans son sac: deux pinces, que je le vois avec horreur fixer aux lèvres de ma chatte.
- OOohhh...
La douleur est plus diffuse que sur mes seins, mais elle est quand même très gênante, d'autant qu'il relie une chaînette aux pinces, et une laisse à la chaînette! et qu'il tire dessus, maintenant! La tension me fait grimacer...
- Avance, esclave!
Je ne peux faire autrement que suivre, tenue en laisse par le sexe, vers le couloir. en passant devant la glace, je jette un regard de côté pour tenter de me voir, mais il tire sur la laisse et je dois me hâter pour soulager la tension sur les lèvres de ma chatte.
Malgré tout, l'image que j’ai pu voir en quelques dixièmes de secondes est très troublante...une femme nue, masquée, enchaînée, tenue en laisse et ornée de pinces...est-ce bien moi?
Il me dirige vers la chambre. L'image est encore imprimée sur ma rétine et je réalise que dans la chambre, il y a un miroir sur le placard...
A l'entrée de la chambre, il me fait d'ailleurs faire le tour du lit pour que je puisse me voir...je ne peux m'empêcher de regarder l'esclave enchaînée qui me fait face...Encore un pincement au cœur et peut-être même plus bas, dans mon ventre...
Tous mes sens sont en alerte… Je sens une sourde pulsation battre au fond de mon vagin. Je la connais si bien cette pulsation…..
Je gémis…. J’ai tellement honte de ce désir obscène que tu ressens….. Je veux qu’il s’en aille…. Que ça s’arrête…. Qu’il me baise et qu’il s’en aille…. Mais qu’il me baise vite….. Tout de suite…
Brutalement il me fait me redresser, tirant sur la chaînette fixée à ma chatte.
Il m’enlève toutes les pinces et me détache les mains.
- Je vous en supplie…. Laissez-moi…. Je…..
Les mots se bloquent dans ma gorge lorsque je le vois dans le miroir s’agenouiller, lorsque je sens sa bouche se poser sur ma chatte. Après la dureté et la rudesse de ses propos, la douceur de sa caresse déclenche en moi une décharge de plaisir incontrôlable. Sa langue insiste insidieusement sur mon clito qu’il aspire entre ses lèvres. Ce que sa langue est bonne…. De nouveau mon corps s’alanguit…… J’ai envie…… Envie qu’il me baise….Une envie violente comme je n’en ai jamais connue….. Mais déjà il s’éloigne me laissant sur ma faim une fois de plus…
Il s’allonge sur le lit.
- A genoux par terre au pied du lit. Non plus près de moi et baisse la tête esclave!
Il commence à branler son sexe redevenu mou, me regardant.
- Allez viens me lécher les pieds.
Je m’exécute avec un peu de mal. Il m’autorise enfin à me branler à mon tour pendant que je lui suce les orteils un par un. C’est comme une délivrance de me mettre les doigts dans la chatte, de me caresser ainsi impudiquement devant lui.
Il m’ordonne ensuite de le rejoindre sur le lit avec les jambes relevées et bien écartées. Je sais ce qu’il attend de moi…
Je me glisse entre ses jambes et commence à lui lécher le cul. Je suis surprise d’aimer ça, de ne pas être dégoûtée. J’adore qu’on me lèche le fion mais je ne pensais pas que ça m’exciterait d’être obligée de le faire à un male. J’aime son odeur de sueur et de fesses. Ma langue joue avec son anus, pénètre à l’intérieur. Il a l’air d’aimer çà le cochon. Ca le fait bander davantage et il m’encourage de la voix.
- Allez grosse truie nettoies-moi bien le fion. Lèche bien le cul de ton Maître…
Je me branle le cul avec un doigt pendant que j’ai le nez entre ses fesses. Il me demande :
- Sale pute, dis moi ce que tu as envie....
Non, je ne peux pas lui dire…… pas possible de lui faire l’aveu de mon désir….
La baguette s’abat sur mon cul.
- Répond, salope
- J’…. j’…. j’ai…. envie….. de votre queue…
Nouveau coup qui me fait me cabrer, sa bite dans ma bouche.
- M..m...maître
- C’est mieux…… Envie comment ?
- En……vie de v….otre queue dans ma chatte…… (‘Oh, non, je ce n’est pas moi qui ai
dit cela…’)
Nouveau coup qui me fait gémir
- Maître…. Sluuurpppp
- Dis-moi ce que tu es…
- Je… suis une sale pute
Je sens la baguette se relever….
- Je suis une….. chienne Maître…. Une grosse chienne en chaleur
- Et les chiennes ça se fait baiser comment ?
Non, pas ça… Il ne peut pas m’obliger à dire ça…..
- Alors !!!!
- D…..dans mon ….. cul……Maître
Il se met à genoux et je continue à lui pomper le gland bruyamment.
- Dis que tu veux que je t’encule comme la chienne en chaleur que tu es
En même temps qu’il aboie ces mots, il pose le bout de la baguette sur mon anus…. Appuie. Je ne peux réprimer un cri… Non, pas ça…. Je le sens qui commencer à l’enfoncer… Mais involontairement, je me cambre... lui facilitant ainsi le passage.
- Je… vous en supplie…. Ahhhhhh
Il appuie plus fortement, déclenchant au fond de mon ventre une houle de feu
- Dis-le salope
- Je … veux que vous m’enculiez….maître
- Mieux que ça
- …Je ve…eux que vous….. m’enculiez comme ….la ch….ienne que je suis... bien profond... je veux que vous enfoncez votre bite dans mon cul de grosse truie…
Je sanglote en disant ces mots, de honte, de dégoût car j’en ai vraiment envie. Là, maintenant, malgré tout ce qu’il me fait endurer, l’humiliation, j’ai une folle envie de le sentir me pénétrer. Je le hais pour ce désir contre lequel tu je m’insurge mais qui est là, si présent et qui me fait trembler. Je jette un regard furtif au miroir. Je me regarde dans cette position, le cul relevé.
- Alors cambre plus ton gros tiroir à merde…. IMMEDIATEMENT !!!!! Plus vite….
Son bras se relève
- N…….oooooonnnnnn Maître, ne me frappez plus, je vous en supplie….. Ne me faites plus mal….
Je m’aplatis complètement sur le lit… tends mes fesses en les écartant avec mes deux mains…… Lentement il fait glisser sa main entre ma raie…… appuie doucement sur ma rosette qu’il commence à masser tendrement. ‘OHHHH je le hais….. L’alternance de douleur et de douceur qu’il me fait subir est intolérable’. Son doigt se fait insistant. Je gémis…
- N…..onnnn, je vous en supplie……..
Mais insensiblement , j’appuis sur son doigt qui commence à s’enfoncer….. et me fait frissonner.
Je gémis……. de frustration. Sa main s’active maintenant entre mes cuisses, agace mon clito que je sens durcir. Dans le miroir, je le vois s’avancer la queue à la main. Cette vision avive encore
davantage, si cela se peut, mon désir (‘J’ai vraiment envie qu’il m’encule... non... je ne dois
pas penser cela... je suis folle’). Il s’approche… Son sexe effleure mes fesses… glisse entre ma raie, s’arrête un instant sur mon petit trou, s’appuie graduellement,(ohhhh oui……), le délaisse et continue son chemin jusqu’à mon vagin trempé .( ‘Oh non…c’est dans le cul que je la veux…’) Je le sens commencer à glisser en moi…. Mon souffle s’accélère….
Il s’enfonce lentement… si lentement….. C'est insupportable.... Je voudrais pouvoir m’avancer vers lui et le planter loin en moi mais de sa main libre il me maintient fermement par les cheveux.
- Dis ce que tu veux….
- J’ai … envie de vous…. Maître
L’attente qu’il me fait endurer est encore plus terrible que les coups de baguette. J’ai une folle envie de jouir mais il me maintient à la frontière…. De le sentir aller et venir en moi…. Qu’est ce qu’il attend…..
- J’ai envie… je vous en prie… je ferai tout ce que vous voulez mais prenez moi…. comme une chienne….. Faites moi jouir…… Je vous en supplie...
Je me déteste pour ces mots qui coulent hors de moi sans que je puisse les retenir.’ Ce n’est pas possible, ce n’est pas moi qui dit cela…. qui me vautre dans cette infamie......Je ne suis donc plus que cela, une chatte en chaleur qui n’a qu’une idée être prise par son maître !!! Comment puis-je retirer du plaisir de cet avilissement. Ma chatte est en feu. Je la sens palpiter en pulsation de plus en plus douloureuses de plaisir réprimé. Des ondes me transpercent et je n’arrive plus à démêler la peur, la douleur et le plaisir…. Mais qu’attend-il…..
Une envie violente me tord le ventre. Qu’il me la mette enfin….. Qu'il me défonce... la chatte... le cul... Ce qu'il veut ...Mais qu'il me la mette enfin bien profond.... ‘
Il se recule me tirant violemment en arrière par les bras. Je dégringole du lit et me retrouve à  genoux devant lui qui tend son sexe devant mes yeux… à portée de ma bouche…
- Rampe comme la chienne que tu es et viens me sucer…viens la faire encore durcir pour mieux te perforer les intestins…
Je le regarde désespérée. Il n’y a donc pas de limite dans la dégradation et l’avilissement…. Je ne peux pas…. Son sexe est à portée de ma bouche…. Sans plus aucune volonté, esclave de son désir
comme du mien, j’avance mon visage vers sa queue….. il recule. Je tombe en avant…..
- Viens la chercher, si tu la veux esclave
Oh oui je la veux…. Tout de suite….. La sentir emplir ma bouche.... la lécher de ma langue....Je me traîne vers lui, oubliant toute dignité, toute pudeur. Une seule chose compte désormais, qu’il me délivre de ce désir ignominieux qui gronde en moi et me dévaste. Qu’il me fasse jouir et qu’il s’en aille…Je le suce comme la grosse pompe à bite que je suis en ce moment…Je tête son gland de façon obscène…j’ouvre la bouche à me décrocher la mâchoire pour qu’il puisse me baiser par là violemment…
- Maintenant je vais casser ton gros cul. Allez écarte tes fesses, découvre moi ta pastille
Je m’exécute rapidement, contente de le recevoir enfin dans mon cul, prenant mes fesses à pleine main. Ma poitrine s’écrase sur le lit et ma pastille est bien offerte. Il crache dessus et présente son gland au centre. Il pèse de tous son poids mais mon anus refuse de s’ouvrir malgré ton désir. Il me balance des grandes claques sur les fesses.
- Pousse comme pour chier connasse
Il transpire comme un phoque et pèse à nouveau sur ta rondelle qui cède subitement. La queue se fraye un passage dans ton boyau occasionnant une vive brûlure. Ta pastille est maintenant dilatée et il te besogne vigoureusement le cul, se positionnant à la verticale de tes fesses pour mieux s’enfoncer ensuite dans ton rectum.
- Putain elle est serrée c’est trop bon
Puis il s’arque boute complètement dans ton dos et agrippe tes grosses mamelles par en dessous et les malaxe, les serre avec force.
Soudain une vive chaleur se saisir de tout ton bas ventre et tu jouis comme catin. Des ondes successives déferlent envahissant tout ton être.
- Oui gros cochon. Bourre-moi bien le cul…je jouis…Ahhhhh…Ouiiiii plus fort ! Fais-moi remonter ma crotte ! Je suis ta putain ton esclave consentante…Ouiiii Fais de moi ce que tu veux…ou tu veux….défonce bien mon tiroir à merde ! Ouiiiiii frappe moi les fesses en même temps pendant que tu me défonce…Insulte moi ! Oui…encore…J’aime les gros cochons comme toi qui n’ont pas peur du vice…Allez plus fort ! Ca te plait que je sois bien salope avec toi ! Oui tire sur mes grosses mamelles…plus fort…plus fort salaud !!!!
Il s’immobilise soudainement toujours planté dans ton cul.
Je gémis longuement. Je suis heureuse malgré ou grâce à ce que j’ai subis depuis le début de la soirée
- Regardez cette grosse pute qui prend son pied. Elle a le trou du cul qui n’arrête pas de palpiter. Ca serre… je vais venir
Je veux qu’il  jouisse dans mon cul ou dans ma bouche mais d'un seul coup il a sorti sa queue et se mets à se branler vigoureusement sur mes seins. Une grimace déforme son visage et il crie. Il éjacule abondamment sur ma poitrine, je reçois également des traînées de sperme sur le visage. Mes yeux ne quittent pas sa queue pendant que je me branle le con. Quand il s'agite follement et lorsque son sperme chaud s'est écrasé sur ma peau j’ai eu un orgasme violent. Des ondes de plaisir me secouent de la tête aux pieds, un feu d'artifice, des frissons interminables, et une sensation de chaleur a traversé tout mon dos de la nuque jusqu'aux reins. Un plaisir cérébral que je n'avais jamais connu. Un agréable sentiment de bien être m'enveloppe. Il a étalé son sperme sur ma poitrine. Le spectacle de mes seins barbouillés de son foutre crémeux et visqueux doit lui plaire car il les masse ainsi un long moment. Mes seins dégoulinent de sperme, il m'en a mis partout, sur le ventre, sur les hanches, sur le cou. Il lèche les quelques gouttes de sperme sur mon menton et mes joues puis il m’embrasse à pleine bouche pour me les passer. J’avale avidement le mélange de salive et de sperme qui m'emplit la bouche. Ensuite il passe mes doigts sur mes seins et me fait lécher et sucer ses doigts pleins de foutre. Je m’y applique comme si chacun de ses doigts était une bite. Le goût de son foutre et la sensation formidable de me sentir toute barbouillée de sperme m’excite encore. Je me prends les nichons à pleines mains et penchant la tête, je les lèche.  Décidément cet homme est fait pour moi, pour m'exciter malgré les circonstances. Je m’écroule sur le lit, je veux garder son foutre sur moi, je veux être sale, souillée, barbouillée et ça me plait. Il quitte la chambre. Il part enfin. Il part déjà ?
Je reste un long moment sans bouger. Abasourdie par ce qui vient de m’arriver. Au bout d’un moment…le téléphone sonne…
C’est INDY! Il me demande malicieusement si j’ai aimé son scénario de voleur violeur.
Mince, je ne l’ai pas reconnu sous son masque !!!!!
- Salaud…pervers…vicieux…tu m’en a fait voir ! Tu devais venir plus tard. Tu m’as surprise. Mais j’ai aimé ça !!!!!
On rit longuement ensemble, complices…
Tendresse infinie pour lui.
LOU

2 commentaires:

  1. Rare que je lise des billets si longs, mais là je dois dire, Lou, que là tu réveilles en moi des désirs que je pensais pas si intenses...

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  2. eh bien il ne faut jamais dire fontaine .... bienvenu(e) sur Vices et Délices ... au plaisir et "à tous les plaisirs" ... Lou

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