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31/12/2009

Lou confirme


Le père noel est une belle ordure !!!


Elle prend des médicaments à base d’opiacés qui lui interdisent tout alcool alors quelquefois elle ne maîtrise  plus tout à fait les situations. Les rêves sont des réalités, les réalités des songes. Elle ne lutte plus et se laisse bercer, un jour viendra où elle reprendra tous ses esprits. Pour l’heure, le père noel est là en face d’elle  et elle veut y croire. Son regard lubrique la fascine, sa barbe semble douce pour un postiche, elle l’imagine nu sous son manteau long  rouge maintenu par une simple ceinture.


Elle s’efface pour le laisser entrer, le froid s’engouffre avec lui et elle frissonne. Il s’affale dans le fauteuil face à la cheminée et lui fait signe de le rejoindre ….  


- j’ai soif ! Sers-moi un verre de cognac !


Stupéfaite par tant de familiarité, elle reste stoïque ce qui le met très en colère : allez, plus vite que cela, j’ai très soif … elle s’exécute sans réfléchir et lui apporte son  cognac docilement.


Sur la table est posé un martinet, elle fait mine de ne pas l’avoir vu et s’assied à son tour dans le fauteuil qui lui fait fasse. Elle garde les genoux serrés, elle est crispée, seul le feu qui crépite rompt le silence qui s’installe. Il la regarde entre deux gorgées : détends toi … je ne suis pas le père fouettard ! quoique ….


-  approche, viens là plus près que je te regarde, tourne toi … 
lentement que j’admire tes courbes, soulève ta jupe … plus haut, encore …


Elle ne sait si c’est la chaleur du feu ou de son regard mais son corps s’embrase. Elle tourne sur elle-même, son cœur de salope s’emballe, et sans qu’il n’ait eu besoin de le demander, elle se met à genoux, croupe tendue. Son regard fixe les flammes qui tournoient et l’éblouissent, elle n’a pas conscience de la posture, ses hanches se mettent à onduler, un appel à la fessée.


Le père noel sourit, tend le bras, touche une fesse puis l’autre : beau cul !


Les caresses sont  fermes, elle se tortille, s’approche un peu plus, se détend et ne sent pas arriver  la claque qui lui assène sans ménagement. Surprise, elle est prête à se relever : reste comme çà, ne bouge, penche toi encore un peu plus  ! L’ordre est sans appel, elle reste stoïque, elle angoisse mais la situation l’excite aussi : Pourquoi ?


-          Pourquoi ? Tu me demandes pourquoi ? Il éclate de rire : mais parce que tu es une salope, une chienne, Ma chienne et que je fais de toi ce que je veux.


Elle n’a pas vu qu’il avait saisi le martinet mais a bien senti les lanières lui cingler la peau.


-          Alors Ma belle callypige, tu aimes ? Dis moi !
-          Oui !
-          Oui qui ?
      -          Oui Monsieur !
-          Bien !


Il pose ses mains douces à l’endroit même qu’il vient de meurtrir. De grosses larmes roulent sur ses joues, elle a honte plus qu’elle n’a mal. Elle a honte de ressentir le plaisir naître entre ses cuisses.


Il écarte le string et entreprend une fouille profonde. Elle s’imagine le spectacle de son cul tendu, de ses fesses rougies, de l’indécence de la situation. Elle se cambre au moment où elle sent son doigt se poser sur son anus. Elle sait qu’il ne va pas en rester là. Elle attend, ferme les yeux, elle ne pense plus. Elle se laisse aller sous son doigt qui la polit, l’ouvre, s’immisce, la détend, la distend.


Elle rêve d’Indy, son Maître, elle offre son cul au père noel ! Elle va lui dire mais il ne la croira pas !


-          Viens préparer ma queue, ma petite salope !


Il ouvre le pan de son manteau. Elle découvre sa queue déjà tendue et dressée. Elle s’agenouille entre ses cuisses, prend sa bite entre ses lèvres … un goût sucré salé excite ses papilles, elle se souvient et se met à pomper cette bite tant convoitée. Elle le suce avec application, le lèche avec dévotion, le pompe. Sa bite durcit un peu plus à chaque coup de langue. Son dard est dressé, elle savoure  toute son ampleur du méat à la base, lèche ses couilles. Elle sent sa queue frémir quand elle l’avale. Son plaisir nait du sien. Elle sent sa chatte couler à mesure que sa bite envahit sa bouche. Il soulève son bassin et s’enfonce jusqu’à sa gorge.


-          Stop, Stop, je veux juter dans ton cul, met toi à quatre pattes, écarte tes fesses !


A regret, elle l’abandonne, se retourne. Il pose sa queue entre ses fesses, elle se rapproche.


-          Tu la veux ? tu vas l’avoir ma Salope !


Inexorablement, il s’enfonce, il l’envahit, la viole. Elle est béante. Il la prend, la pilonne, collant son pubis à ses fesses, il bouge, il s’active, elle le laisse faire et peu à peu se surprend à participer en ondulant. Elle enfonce ses doigts dans sa chatte, caresse sa queue à travers elle. Elle le sent, elle aime être à Lui. Un spasme le cloue contre elle, elle sent qu’il va juter, une onde de choc la secoue, son foutre s’écoule en elle en longs jets brulants. Elle ne sait plus ce qu’elle dit, ce qu’elle fait, elle jouit comme jamais avec Lui.


Il s’affale sur elle et lui murmure : Joyeux Noel, Lou !


-   Bonsoir mon Beau Salaud, mon Doux Pervers, bonsoir Indy ! 

Non, le Père Noel n’est pas une ordure !



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